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Calculs biliaires – signes & symptômes
Signes et symptômes de la présence de calculs biliaires dans le foie et dans vésicule biliaire
La peau
Le mauvais fonctionnement d’une partie du corps se montre au niveau de la peau sous forme de défauts cutanés, de décolorations ou de modification telles qu’une peau sèche ou grasse, ridée, flétrie…
Les calculs biliaires mènent aux troubles circulatoires, ce qui réduit l’approvisionnement en substances nutritives de la peau, entrave l’élimination des déchets cutanés, empêche l’épiderme de se développer sainement et trouble le renouvellement normal des cellules cutanées.
- des taches noires et des plaques brunes (dépôts de déchets acides), sur le côté droit ou gauche du front, entre les sourcils ou sous les yeux, au-dessus de l’épaule droite, entre les omoplates
- taches hépatiques sur le dos des mains et les avant-bras, à l’intersection du pouce et de l’index
- rides horizontales à travers le haut du nez, signes de désordres pancréatiques, voire pancréatites ou diabète
- couleur verte ou sombre sur les tempes, signes de dépôts biliaires diminuant l’activité du foie, de la vésicule biliaire, du pancréas, de la rate – couleur verte ou bleue sur les 2 côtés en haut du nez, signe d’une mauvais fonctionnement de la rate – ligne horizontale en haut du nez, signe d’une faiblesse du pancréas
- peau huileuse sur le front, signe du mauvais fonctionnement foie en raison de calculs biliaires – couleur jaune de la peau indiquant des troubles biliaires du foie et de la vésicule biliaire, une faiblesse du pancréas, des reins et des organes excréteurs
- perte de cheveux au milieu de la tête, indiquant la congestion du foie, du coeur, de l’intestin grêle, du pancréas et des organes reproducteurs.
Le nez
- durcissement et épaississement de la pointe du nez, signe d’une faiblesse chronique du foie, résultant à un durcissement des artères, d’accumulation de graisse autour du coeur, du foie, de la rate, des glandes rénales et de la prostate. L’agrandissement excessif des vaisseaux sanguins peut mener à une crise cardiaque ou une crise d’apoplexie
- nez constamment rouge, indiquant des troubles cardiaques, avec une tendance à l’hypertension – un nez violet, indicateur d’hypotension. La cause en est un déséquilibre du foie, des fonctions digestives et des reins
- bout du nez fendu ou renforcement sur le bout du nez, signe d’un battement irrégulier du coeur ou des fibrillations
Les yeux
- cernes légèrement jaunâtres sous les yeux, indiquant l’excès d’activité du foie et de la vésicule biliaire – cernes de couleur plus sombre, ou même noire, résultent quand les reins, la vessie et les organes reproducteurs sont surmenés à cause de troubles prolongés du système digestif – couleur grisâtre et pâle se manifeste si les reins et les poumons fonctionnent mal en raison d’un mauvais drainage lymphatique de ces organes, ainsi que le système endocrinien
- cernes gonflés sous les yeux, en raison de la congestion des organes digestifs et excréteurs, qui se répercute sur le drainage lymphatique de la tête. En cas de chronicité, cela indique la présence d’inflammations, de kystes, de tumeurs dans la vessie, dans les ovaires, dans les trompes de Fallope, dans l’utérus ou la prostate
- nuages blanc couvrant le centre de l’oeil, composé de particules de mucus, de particules de protéines dégénérées. Cela indique le développement de cataractes causées par un mauvais fonctionnement du foie et du système digestif.
- rougeur constante dans le blanc de l’oeil, causée par des capillaires protubérants, ce qui indique des troubles des fonctions circulatoires et respiratoires – petites tâches de mucus blanc/jaune dans le blanc de l’oeil, signes de l’accumulation anormale de substances graisseuses (calculs bilaiaires dans le foie et la vésicule biliaire) – tendance à développer des kystes et des tumeurs.
- épaisse ligne blanche couvrant la périphérie de l’iris, particulièrement dans la partie inférieure, indiquant l’accumulation de cholestérol dans le système circulatoire, la rétention de graisses dans le système lymphatique
- perte de lustre et de brillance des yeux, indiquant l’occlusion du foie et des reins, en incapacité de filtrer convenablement le sang. Le sang « sale » épaissi par la surcharge de toxines, de déchets, circule lentement, réduit l’approvisionnement en oxygène et en substances nutritives des cellules et des organes, y compris les yeux. Les cellules des yeux et du cerveau sont touchés en particulier, car le sang doit couler contre la gravité pour les atteindre. Les troubles de la vision sont le résultat direct ou indirect d’une capacité réduite de nettoyage du sang par le foie et les reins.
La langue, la bouche, les lèvres et les dents
- langue chargée d’un mucus jaune/blanc, surtout sur la partie arrière, indiquant un déséquilibre dans la sécrétion de la bile. Les résidus toxiques de nourriture non digérée et fermentée ou putréfiée traînent dans les intestins, bloquant le flux lymphatique dans le canal thoracique et empêchant l’élimination des toxines et des microbes de la gorge et de la bouche
- impressions dentaires sur les côtés de la langue, souvent accompagnées de mucus blanc sur la langue, indiquant une faiblesse digestive et une absorption inadéquate des éléments nutritifs par l’intestin grêle
- boutons sur la langue, indiquant une mauvaise digestion, de fermentation, de putréfaction alimentaire dans les intestins
- fissures dans la langue, signes de troubles du côlon, d’une nourriture insuffisamment mélangée à la bile, permettant aux acides toxiques de blesser et d’irriter les parois du côlon
- irritation répétée de la muqueuse de la gorge et la bouche, provoquée par la régurgitation de bile dans l’estomac, inflammant son revêtement et produisant un excès de mucus remontant par l’oesophage. Ceci peut causer un mauvais goût (amer) dans la bouche et des raclements fréquents de la gorge et même des quintes de toux. Sans goût amer est le signe d’aliments non digérés dont les toxines sont neutralisées par le mucus.
- mauvaise halène et rots fréquents, indiquant la présence de nourriture non digérée, fermentée ou putréfiée dans l’estomac et/ou les intestins. Les bactéries qui prolifèrent sur ces déchets, produisent des gaz, parfois toxiques provoquant une mauvaise halène.
- croûtes dans les coins de la bouche, indiquant la présence d’ulcères duodénaux causés par la régurgitation de bile dans l’estomac. Des ulcères dans les diverses parties de la bouche ou de la langue indiquent une inflammation ou une ulcération dans les parties correspondantes de l’estomac ou des intestins. Un ulcère de la bouche sur les parties extérieures de la lèvre inférieure indique la présence de lésions ulcéreuses dans le gros intestin. Un herpès sur la lèvre correspond à une inflammation et à une ulcération de la paroi intestinale.
- taches noires sur les lèvres, dues à des obstructions dans le foie, la vésicule biliaire et les reins, résultant de la stagnation de la circulation du sang et du drainage lymphatique. Si la couleur des lèvres est rougeâtre (foncé) ou violette, ceci indique une faiblesse du coeur, des poumons et des fonctions respiratoires
- lèvres grossies ou épaissies, signes de troubles intestinaux. Si la lèvre inférieure est grossie, le côlon souffre de constipation, de diarrhée ou des deux, en alternance. Des gaz toxiques sont formés à cause d’aliments incorrectement digérées, cela engendre un gonflement abdominal. Une lèvre supérieure grossie ou épaisse indique des problèmes d’estomac, crises de foie accompagnée de « brûlures d’estomac ». (p 93)
Méfaits du Cannabis, Haschich…
Des patients se présentent régulièrement,
avec des symptômes d’angoisses au fond des tripes,
un encrassement des poumons,
des dérégulations au niveau digestif,
des reins fatigués,
une fatigue oculaire intense et continue…
Au ressenti des mains, c’est flagrant…
ressentis qui vont jusqu’au centre du cerveau où certaines zones sont « anormalement » bloquées ou surchargées – ce qui produit une lenteur anormale de réinitialisation des émotions, et probablement d’autres fonctions plus physiologiques.
Lorsqu’un historique de consommation est demandé au patient,
même une consommation assidue datant de plus de 5 ans continue à produire ses inconvénients.
A cet effet, voici le lien de DROGUES & dépendance
EFFETS & DANGERS DU CANNABIS
Les effets immédiats
Les consommateurs recherchent un état de détente, de bien-être et une modification des perceptions (par exemple, sensation de mieux entendre la musique). Mais les effets recherchés ne sont pas toujours obtenus.
Les effets de la consommation de cannabis sont variables : légère euphorie accompagnée d’un sentiment d’apaisement, légère somnolence. Mais elle peut entraîner aussi parfois un malaise, une intoxication aigüe (« bad trip ») qui peut se traduire par des tremblements, des vomissements, une impression de confusion, d’étouffement, une angoisse très forte.
Le cannabis diminue les capacités de mémoire immédiate et de concentration chez les consommateurs, tant qu’ils sont sous l’effet du cannabis. La perception visuelle, la vigilance et les réflexes sont également modifiés. Ces effets peuvent être dangereux si l’on conduit une voiture ou si l’on utilise des machines (machines-outils par exemple).
Selon la personne, la quantité consommée et la composition du produit, le cannabis peut avoir des effets physiques comme :
- un gonflement des vaisseaux sanguins (yeux rouges) ;
- une augmentation de l’appétit (fringales) ;
- une augmentation du rythme du pouls (palpitations) ;
- une diminution de la sécrétion salivaire (bouche sèche) ;
- parfois une sensation de nausée.
A 17 ans, un adolescent sur cinq consomme du cannabis plus de 10 fois dans l’année, et 15% d’entre eux plusieurs fois par semaine.
LES RISQUES RESPIRATOIRES
La fumée du cannabis contient des substances cancérigènes comme celle du tabac : elle est donc toxique pour le système respiratoire. L’association du tabac et du cannabis entraîne des cancers du poumon plus précoces que le tabac seul. Les risques respiratoires sont amplifiés dans certaines conditions d’inhalation (pipes à eau, « douilles »).
Les effets d’une consommation régulière
Certains effets sont loin d’être anodins et révèlent un usage problématique, donc nocif :
- difficultés de concentration, difficultés scolaires ;
- préoccupations centrées sur l’obtention et la consommation du produit, isolement social et perte de motivation ;
- risques pour l’usager et son entourage, liés aux contacts avec des circuits illicites pour se procurer le produit ;
- chez certaines personnes vulnérables, le cannabis peut engendrer ou aggraver un certain nombre de troubles psychiques comme l’anxiété, la panique et favoriser la dépression. Il peut aussi provoquer l’apparition d’une psychose cannabique : il s’agit d’une bouffée délirante qui nécessite une hospitalisation dans un service spécialisé. Le cannabis est également susceptible, chez les sujets prédisposés, de révéler ou d’aggraver les manifestations d’une maladie mentale grave, comme la schizophrénie.