Naturopathie
Réflexologies : Pieds, Mains, Face & Crâne, Abdomen, Oreilles
Le recours à la relaxation plantaire permet de rester en bonne santé. Une séance est ainsi conseillée à chaque changement de saison.
« La voûte plantaire est un deuxième coeur », aussi sa stimulation améliore la circulation sanguine et lymphatique, et soulage de nombreux maux. La relaxation relance alors les fonctions d’auto-guérison du corps.
INDICATIONS DE LA RELAXATION PLANTAIRE : troubles hormonaux, digestifs, ostéo-articulaires, gynécologiques, cutanés, et urinaires. La relaxation s’avère aussi très efficace sur les troubles fonctionnels (mal de dos, migraine, fatigue, insomnie, stress…). Elle agit sur le système neuro-végétatif, c’est à dire la commande autonome du corps (respiration, digestion…).
BIENFAITS DE LA RELAXATION PALMAIRE
En sollicitant les zones sensibles des mains, la relaxation palmaire agit sur de nombreux organes, tels que les organes respiratoires, la tête et le coeur. Plus facile d’accès, les mains ont également l’avantage d’abriter des terminaisons nerveuses communiquant avec l’ensemble du corps.
INDICATIONS DE LA RELAXATION PALMAIRE : Action apaisante sur le système nerveux et le système musculo-squelettique, ainsi qu’une action drainante et vasculaire grâce aux réseaux artério-veineux, stimulante pour la circulation sanguine et lymphatique, calmante en cas de rhumatisme, arthrite, polyarthrite rhumatoïde, arthrose ou encore syndrome du canal carpien – contre les insomnies.
BIENFAITS DE LA RELAXATION FACIALE ET CRANIENNE
La relaxation faciale et crânienne est privilégiée, notamment pour apaiser l’état psychique général de la personne, en cas par exemple de forte anxiété ou de surmenage, entraînant des troubles tels que les insomnies ou les migraines répétées.
Est apportée une sensation de détente en profondeur aux muscles du visage, en particulier à ceux du front et de la mâchoire. Il s’agit d’un soin à part entière, très efficace pour réactiver la micro-circulation, c’est à dire les échanges nutritionnels qui s’effectuent à travers la peau, les os, les muscles et les organes. La peau retrouve alors sa souplesse, sa chaleur et sa coloration naturelle.
INDICATIONS DE LA RELAXATION FACIALE ET CRANIENNE : dans le cas d’anxiété, surmenage, baisse de moral, insomnie mais aussi de sinusites, tensions oculaires, migraines et maux de tête, serrement des dents, douleurs musculaires dans le haut du corps (nuque, tête). Les soins procurent une détente profonde physique et psychique, un équilibre émotionnel et une sensation de bien-être général.
BIENFAITS DE LA RELAXATION ABDOMINALE
Le but de la relaxation abdominale est de dissoudre les points de tensions, les énergies négatives qui se manifestent sous forme de sentiments comme la peur, l’angoisse, la colère ,la tristesse, tous associés à des troubles pouvant engendrer un état dépressif.
Ce massage de relaxation abdominale est un soin extrêmement complet car il redonne souplesse aux organes et aux viscères par la détente et la stimulation des points réflexes tant sur le ventre que sur le dos, les mains, les pieds.
INDICATIONS DE LA RELAXATION ABDOMINALE : en cas de constipation, de ballonnements, de crampes abdominales,
de surpoids dû à une mauvaise alimentation,
de douleurs dorsales dues à une mauvaise position
d’états de stress et d’anxiété
de migraines, insomnies,
de mauvaise humeur, idées noires,
de manque d’énergie, de fatigue chronique.
BIENFAITS DE L’AURICULOTHERAPIE
L’auriculothérapie est utilisée avec succès dans le traitement du manque et des addictions, que ce soit l’alcool, le tabac, la nourriture ou les médicaments. Elle est également utilisée dans le traitement de l’arthrite, l’asthme, les migraines, l’indigestion, les problèmes urinaires et les troubles nerveux.
INDICATIONS DE L’AURICULOTHERAPIE : Stress, troubles du sommeil, les psycho-émotifs, l’obésité, l’excès de poids, les troubles alimentaires, le tabagisme, les dépendances à des substances, problèmes gastroéntérologiques (vomissements et nausées), andrologie (impuissance, éjaculation précoce), difficultés de concentration.
RELAXATION PLANTAIRE
La relaxation plantaire et palmaire contribuent à l’harmonie du corps, ces techniques via des pressions rythmées sur les pieds ou les mains, permettent un relâchement, une détente profonde et participent ainsi à l’auto-régulation de l’organisme.
La relaxation plantaire libère les facultés d’auto-régulation du corps. Elle se base sur le fait que le pied, qui compte 7200 terminaisons nerveuses, est la représentation miniaturisée du corps humain. A chaque zone réflexe correspond un organe, une glande ou une partie spécifique du corps. Des pressions rythmées, appliquées sur ces zones réflexes, permettent de localiser les tensions et de rétablir l’équilibre dans les parties du corps correspondantes.
RELAXATION PALMAIRE
La relaxation palmaire est une technique de relaxation, qui consiste à exercer des pressions sur des points précis des mains, de manière à soulager les douleurs et les tensions et/ou à stimuler l’organisme dans ses diverses fonctions. Elle peut être pratiquée en auto-massage. La technique est particulièrement appréciée chez les gens âgés de par son caractère non intrusif.
RELAXATION FACIALE ET CRANIENNE
La tête renferme le cerceau, mais aussi des glandes essentielles à notre équilibre émotionnel. Les 20 points réflexes du visage correspondent à un organe, une glande ou une partie du corps .
RELAXATION ABDOMINALE
Les anciens Taoistes, Chinois et Indiens attribuent au ventre des zones réflexes spécifiques et le statut de « siège de la vie ».
Notre cerveau entérique, celui du ventre, produisait 95% de la sérotonine, un neurotransmetteur qui participe à la gestion de nos émotions. Notre ventre contient en effet deux cents millions de neurones qui veillent à notre digestion et échangent des informations avec notre «tête».
Le ventre est une zone dans laquelle s’accumulent le stress et un grand nombre de tensions et d’émotions. Intimement connecté à six systèmes majeurs (vasculaire, lymphatique, nerveux, musculaire, respiratoire et énergétique), c’est aussi un organe au fonctionnement indépendant.
AURICULOTHERAPIE
Les Anciens Chinois ont découvert que l’oreille contient de nombreuses terminaisons nerveuses et points d’énergie connectés au reste du corps, pour traiter de nombreuses affections.
Un médecin lyonnais, Docteur Paul Nogier, indique l’auriculothérapie comme une relaxation d’une efficacité fidèle.
Elle traite principalement les déséquilibres du système nerveux autonome mais aussi les douleurs, par des punctures en divers endroits du pavillon de l’oreille.
Le Docteur Nogier émet l’hypothèse de l’auriculomédecine, la photoperception cutanée, imaginant l’oreille comme un radar permettant de mettre en évidence des pathologies sous jascentes.
La Neuralthérapie : Indiscociable de l’auriculothérapie et de l’auriculomédecine, cette technique allemande peu connues dans nos régions a été découverte par deux frères chirurgiens rhénans les frères Huneke. Elle consiste principalement a rechercher et éliminer les champs perturbateurs pathogènes (CPP) qui infestent l’organisme comme les cicatrices par exemple, qui bloquent à la fois les réactions métaboliques mais également les thérapies reflexes.
Jeûne Thérapeutique
Le jeûne est la privation, volontaire ou non, de nourriture, accompagnée ou pas d’une privation de boisson.
D’un point de vue médical et physiologique, on considère que la période de jeûne commence à partir de la sixième heure après le dernier repas. Le jeûne met en marche des mécanismes d’adaptation physiologique hérités du lent processus de l’évolution. Diverses expériences ont montré sur le modèle animal qu’une restriction alimentaire non excessive prolonge la durée de vie de nombreuses espèces (souris, rat, singe rhésus). Une étude publiée dans Nature en 2016 a aussi montré que ce jeûne s’accompagne d’une diminution des dommages à l’ADN. Sur une période courte, le jeûne intermittent permet une perte de poids et de masse grasse similaire à la restriction calorique ainsi qu’une augmentation de la sensibilité à l’insuline.
L’adaptation et la résistance au jeûne prolongé observées chez l’humain, mais également chez certains oiseaux (migrateurs, manchots), ont été modelées par l’histoire de l’évolution.
La faculté de stocker des réserves avec un maximum d’efficacité, conjuguée à l’utilisation très efficiente de ces substrats, a permis à l’humain de survivre et même de se développer dans des conditions très peu favorables du point de vue alimentaire, ceci jusqu’à une période très récente de l’histoire en Europe, mais encore actuellement dans de nombreux pays en voie de développement.
Le jeûne stimulerait les forces curatives de l’organisme »
Le docteur Otto Buchinger a été le premier scientifique d’Europe de l’Ouest à s’intéresser à ce sujet, bien qu’en URSS de nombreuses études scientifiques aient été conduites depuis quarante ans, mais n’ont jamais été traduites et sont restées méconnues en occident. Ces études auraient montré des améliorations remarquables dans certaines affections telles que le diabète sucré, la polyarthrite rhumatoïde et d’autres rhumatismes, l’hypertension artérielle (HTA), l’asthme, l’insuffisance cardiaque ou l’allergie.
Dr. Otto Buchinger (1878 – 1966)
Forcé à quitter son poste de médecin dans la marine après avoir contracté une maladie rhumatismale invalidante, Dr Otto Buchinger (1878 – 1966) entreprit de jeûner 19 jours, faisant ainsi lui-même l’expérience des mécanismes d’autoguérison entraînés par cette méthode.
Pendant le jeûne le corps se porte bien, c’est l’âme qui ressent la faim. »
Ce scientifique, spécialiste en médecine interne, était un observateur précis. Publiée en 1935 et toujours éditée à l’heure actuelle, son œuvre maîtresse « Das Heilfasten » (« le Jeûne Thérapeutique ») constitue la première description systématique de la physiologie du jeûne et des pathologies considérées encore aujourd’hui comme des indications du jeûne.
Buchinger était aussi un grand passionné de la nature et une personne profondément spirituelle qui ne considérait pas le jeûne comme un manque, mais comme un état d’absence de besoins et de retour sur soi-même.
Diététique de l’âme
La spiritualité exige d’avoir du temps. Quand vous jeûnez, vous avez du temps. La spiritualité signifie également ne plus vouloir, laisser agir en nous. Lorsque l’on jeûne, le corps se sert à son gré dans ses réserves de nutriments, trop souvent surabondantes à notre époque… sans intervention de la volonté. La spiritualité est la capacité de vivre dans l’instant présent, d´accepter ce qui arrive. Faisant partie intégrante de l’expérience spirituelle du jeûne, le silence permet aussi d’accéder au monde intérieur.
On évite de bavarder, de raconter des histoires superficielles, de juger. Ce qui favorise le calme particulier qui envahit le corps, du jeûneur, c’est la suspension de l’ingestion d’aliments, l’arrêt des synthèses, de la production des sucs. Les mouvements gastrointestinaux, ne rythmant plus les journées, tout est plus silencieux et calme dans le corps. Souvent, l’humeur s’harmonise, s’euphorise, on assiste même à l’émergence de sentiments de plénitude.
Jeûner interrompt tous les schémas comportementaux : on est transporté dans une autre dimension, comme si on vivait un saut quantique.
Le défi spirituel consiste à l’accepter et à la laisser se développer avec confiance, pour permettre ainsi à la dimension spirituelle de s’épanouir…
Le Jeûne Thérapeutique
La base du programme du jeûne a été développée par trois générations de médecins et thérapeutes.
Grâce à un suivi médical personnalisé, une nutrition vivante, le fitness physique et l’inspiration, corps et esprit sont régénérés.
L’eau minérale et les tisanes sont prises en quantité illimitée. De plus bouillons de légumes préparés à la minute ou jus de fruits fraîchement pressés de cultures biologiques sont un appoint très apprécié. La cure débute par un repas végétarien léger, le jour de l’arrivée, suivi d’un jour de repos digestif.
En fin de jeûne, la nourriture est réintroduite progressivement sur une période déterminée, dite de reprise alimentaire. Il s’agit là d’un processus régénératif qui procure un plaisir intense et s’avère décisif pour garantir durablement le succès du jeûne.
Les processus de détoxification et de régénération cellulaire dûs au jeûne sont favorisés par des traitements externes : massages, physiothérapie, enveloppements, hydrothérapie.
Psycho-Généalogie
Extrait « Aye Mes Aïeux » de Anne Ancelin Schützenber
Prisonniers d’une invisible toile d’araignée
L’inconscient a une bonne mémoire », révèle Anne Ancelin Schützenberger
La vie de chacun de nous est un roman.
Vous, moi, vivons prisonniers d’une invisible
toile d’araignée dont nous sommes aussi l’un des maîtres bâtisseurs.
Si nous avions appris à notre troisième oreille, notre troisième œil, à saisir, à mieux comprendre, pour comprendre, pour voir ces répétitions et ces coïncidences, l’existence de chacun deviendrait plus
clair, plus sensible à ce que nous sommes, à ce que nous devrions être.
Est-il possible d’échapper à ces fils invisibles, ces « triangulations », ces répétitions ?
Nous sommes finalement, d’une certaine manière, moins libres que nous ne le pensons.
Nous pouvons retrouver notre liberté et sortir de la répétition, comprendre ce que
se passe, en capturant ces fils dans leur contexte et dans leur complexité.
Donc finalement on peut
vivre « notre » vie, et non celle de nos parents ou grands-parents, ou celle d’un frère décédé,
par exemple, et que l’on « substitue » sciemment ou non…
Ces liens complexes peuvent être vus, ressentis ou sentis, au moins,
partiellement, mais on n’en parle généralement pas. Ils vivent dans l’indicible, le
l’impensé, le non-dit ou le secret.
Mais il y a moyen de modéliser et ces liens et
nos désirs, pour que notre vie soit adaptée à ce que nous voulons,
nos désirs authentiques, ce que nous désirons profondément et dont nous avons besoin (et non ce que
que les autres veulent pour nous), être.
S’il n’y a ni hasard ni nécessité, vous pouvez toujours tenter votre chance, rouler sur votre
destin, « tourner le destin défavorable » et éviter les pièges des répétitions
inconscientes transgénérationnelles.
Que notre vie soit l’expression de notre être profond, est-ce, au fond, le travail
psychothérapie et formateur. Après s’être découvert et compris
– idem, le psychothérapeute peut mieux comprendre, percevoir, voir, presque deviner ce quoi à peine exprimé. Parfois, il se manifeste par la douleur, la maladie, le silence, le « langage corporel », l’échec, l’acte raté, la répétition, les »malheurs » et
difficultés essentielles.
Puis, humblement, avec tout son « savoir »
(bien qu’il s’agisse plus de savoir-être, de savoir-être avec l’autre et de son écoute,
plutpt que d’un savoir-faire, ou d’un savoir (théorique), le thérapeute tente d’être
« entre », l’intermédiaire ou le passeur, dans l’interface entre soi et soi du patient,
entre celui qui est recherché et sa vérité (de lui, le « patient », l’autre), et sa « sage-femme » ou sa
« sage-femme » comme disait Socrate.
GENOGRAMME ET GENOSOCIOGRAMME
C’est une méthodologie qui s’intéresse aux problématiques liées à la place que nous occupons dans la généalogie familiale et qui subissent l’impact des événements vécus dans les générations précédentes et contiennent la dimension de l’inconscient familial.
Le génosociogramme permet une représentation sociométrique (affective)
figure de l’arbre généalogique familial, avec ses caractéristiques de noms, prénoms,
lieux, dates, repères, liens et événements majeurs de la vie : naissances, mariages,
décès, maladies graves, accidents, mutations, professions, retraite.
Le génosociogramme est une représentation de l’arbre généalogique annoté (génogramme)
avec un affichage, par flèches sociométriques :
- des différents types de
relations du sujet, en relation avec son environnement et les liens entre les différents
personnages :- co-présence, cohabitation, coercition, dyades,
triangles, exclusions… - « qui vit avec qui sous le même toit » et « mange dans la même marmite »,
- qui élève le / les enfants,
- qui fuit et où, qui arrive (naissance, transfert) au moment
dans lequel un autre part (meurt ou part), - qui remplace qui dans la famille, et comment ils sont faits
distributions… surtout après un décès (héritage, donations)
favorisés, défavorisés, - les « injustices » (comptes familiaux et sociaux), les
répétitions…
- co-présence, cohabitation, coercition, dyades,
A travers une lecture graphique de l’arbre généalogique, la carte familiale est établie sur deux siècles (sept à neuf générations), et parfois plus, donnant du sens à la place de chacun, mettant en évidence les liens affectifs les plus importants, tant négatifs que positifs.
• La lumière psychosociale et psychanalytique, avec quelques
« références d’écho » ainsi que la perception des changements de sujet et aussi le rythme
respiratoire approfondit et enrichit l’exploration par le génogramme, et en fait un
génosociogramme.
• Cela révèle ce qui est dit et ce qui n’est pas dit, les liens et
relations socio-affectives présentes et passées.
• La communication non verbale est travaillée, ce qui a été exprimé, les « trous » et les « oublis »,
- Répétitions comme le syndrome anniversaire ;
- les ruptures, les cassures, les « fractures du âme »
- les synchronicités et les coïncidences des dates de naissance, de décès, de mariage, de séparation,
- les accidents, l’apparition de maladies, les échecs aux examens, les démarches, les anniversaires ou dates importantes de l’univers personnel du sujet, de son univers familial (son « atome social »)
- son environnement socio-économique, réalité psychologique personnelle,
afin que la personne comprenne mieux sa vie et puisse y donner un sens. - Ce qui unit les membres d’une famille, les loyautés, les traumatismes et les scénarios qui se répètent ;
- Analyse de l’inconscient familial et ancestral et son ensemble des identifications et projections pour les réordonner et les transformer ;
- Secrets de famille : Se cacher derrière des maladies auto-immunes, comme le cancer, ou les répétitions amoureuses négatives, ou encore les échecs professionnels récurrent ;
- Explorer et clarifier l’identité réparent les liens familiaux et apportent compréhension, tolérance et capacité de pardonner dans certaines situations, en plus d’une plus grande liberté ;
- Une loyauté invisible nous amène à répéter des événements douloureux que nos ancêtres ont vécus ;
- Les traumatismes des générations précédentes peuvent être hérités sans contact direct ;
- S’il y a eu un traumatisme, comme le suicide, la fausse couche, l’avortement provoqué, le vol, la faillite ou le partage injustifié des biens héréditaires, et on n’en parlait pas, ces événements vont se répéter jusqu’à ce que quelqu’un les travaillent et les mettent en lumière. Les parents affectent les enfants, comme les grands-parents affectent parents, arrière-arrière-grands-parents sur grands-parents et donc on peut continue ainsi.
Physique Micro-Vibratoire
Extrait « Physique Micro-Vibratoire et Forces Invisibles » de Belizal & Morel
Les Forces invisibles
• La force tellurique fuse du centre de la terre et tend à s’échapper dans la stratosphère
• La force cosmique vient du cosmos, de notre galaxie, de notre système solaire et doit constamment bombarder la force tellurique pour la neutraliser.
Tant que la cellule vivante se trouve dans l’équilibre de ces 2 forces, à moins d’autres causes secondaires accidentelles, elle est à l’abri de tous les maux qui font échec à la vie, mais si, pour une raison quelconque, une de ces deux forces vient à défaut – et c’est toujours la force cosmique – c’est très rapidement le déséquillibre engendrant la maladie sous ses formes les plus diverses.
L’état de la maladie proviendrait d’un déséquilibre vibratoire – la « Rupture des Forces Compensées »…
Dans la terre, se trouvent des corps pouvant contribuer par leur champ magnétique à détruire l’état d’équilibre de la cellule vivante. Pour cette nocivité puisse agir, il est indispensable, que ces vibrations déséquilibrantes trouvent un support, une onde porteuse, qui leur permette de s’échapper dans l’atmosphère : eau souillée, microbienne, émanation de cimetière, égout, rivière souterraine mal drainée, ou encore faille sèche radio-active, formant pile, par suite de différentes couches de minerai rencontrées dans le sol…
Vibrations – Couleurs
A côté des ondes naturelles, il existe d’autres vibrations qui sont dues, non pas au complexe cosmo-tellurique, mais à la forme même de la matière.
Absolument tout ce qui existe dans l’univers rayonne et émet des vibrations, mais ces vibrations ont un champ oscillatoire tellement infime qu’il échappe aux instruments de physique les plus sensibles : ce sont les ondes de forme.
Leur longueur d’onde est de l’ordre de l’Angström – bien loin de l’onde modulée T.S.F. Cette fréquence microscopique fait précisément sa force puisque, véhiculée par une onde porteuse naturelle ou créée artificiellement, cette micro-vibration peut faire le tour du globe en quelques fractions de seconde. Ces ondes de forme se situent dans l’échelle du spectre qui englobe toutes les vibrations existant dans le cosmos.
7 vibrations-couleurs visibles et invisibles avec chacune ses infra et ses ultra, à savoir :
• Visibles : Violet, Indigo, Bleu, Vert positif (V+), Jaune, Orangé, Rouge,
• Invisibles : Infra-Rouge, Noir, Vert négatif (V-), Blanc, Ultra-violet
Entre le noir et le blanc, existent de nombreux points vibratoires dans une zone radioactive intense, dont le centre se situe au vert négatif (V-) : c’est la vibration la plus courte et la plus puissante de l’univers – onde porteuse naturelle dans le sol, c’est l’onde tellurique propre qui fuse du centre de la terre et tend à s’échapper dans la stratosphère, entraînant avec elle toutes les vibrations trouvées sur son passage.
Circonférence
Une circonférence plane, sous l’angle vibratoire, possède deux lignes de force en croix dont le point d’intersection constitue un centre de figure autour duquel se répartissent d’autres lignes secondaires rigoureusement équidistantes et synchronisées sur toutes les vibrations du spectre, visible et invisible.
Le sommet de la circonférence est de signe positif et vibre sur la couleur vert du spectre.
Son antipode est de signe négatif, bien que synchronisant également sur le vert du spectre.
Nous sommes donc en droit de conclure que toute circonférence possède un pôle nord positif, et un pôle sud négatif.
Si nous examinons maintenant la ligne perpendiculaire au Nord-Sud, passant par le centre de figure, nous constatons que cette ligne de force se synchronise avec le rouge àl’Ouest et le violet à l’Est.
Entre les branches de cette croix fictive, se détectent toutes les vibrations du spectre, tant visibles qu’invisibles, chacune émise du centre de figure et venant effleurer de la périphérie de la circonférence.
Toutes les vibration visibles se situent dans l’hémisphère nord et toutes les vibrations invisibles dans l’hémisphère sud.
Sphère
Si la circonférence plane n’a que deux lignes de force ; N.-S. et E.-O., se coupant à angle droit, par contre la sphère possède un rayonnement vibratoire beaucoup plus complexe.
Elle a deux méridiens, l’un électrique, l’autre magnétique, et un équateur electro-magnétique.
Chacun de ces cercles fictifs, radio-actifs, enregistre toutes les vibrations du spectre visible et invisible, ces deux méridiens séparant les ondes électriques des ondes magnétiques, tandis que l’équateur vibre sur le faisceau complet électromagnétique.
Réfraction angulaire
Même un livre renferme un réseau de vibrations :
• à toutes les pages fusent des ondes à des fréquences différentes ;
• toute la gamme du spectre visible et invisible y est représentée, car c’est la réfraction angulaire qui crée la vibration.
Les Egyptiens connaissaient parfaitement le pouvoir émetteur :
- Leurs fresques sont composées de dessins dont les angles sont si rigoureusement calculés qu’elles rayonnent, a volonté, des ondes bénéfiques ou maléfiques suivant l’usage auquel elles étaient destinées.
- Leurs hiéroglyphes ont le même pouvoir
La civilisation pharaonique descendait directement des Atlantes, qui possédait les secrets les plus prodigieux, secrets qui donnaient à l’homme pouvoir sur la matière, et cela, non pas comme en notre XXe siècle, au moyen de centaines de millions de volts, exigeant des capitaux énormes et le concours de nombreux ingénieurs travaillant en équipe, mais simplement en mettant en jeu les forces invisibles et naturelles.
Pour produire de l’électricité, l’homme a bouleversé des paysages grandioses, élevé des barrages, créé des lacs artificiels, construit des centrales hydrauliques et thermiques géantes, encerclé enfin la terre d’une véritable toile d’araignée de fils, alors que l’énergie électro-magnétique est à sa disposition à l’état naturel dans l’éther : il suffit de la capter.
Equerre
Tous les artisans qui travaillent le bois se servent d’une équerre, mais ils ignorent qu’ils ont la, entre les mains, un émetteur d’onde dont la vibration est de l’ordre des rayons gamma.
• L’équerre forme un angle de 90°, or lorsque vous tracez deux lignes perpendiculaires ayant un point commun, vous obtenez la vibration la plus courte et la plus puissante de l’univers : le vert négatif (V- );
• La forme qui engendre la vibration et l’émission fuse toujours par la ligne horizontale de l’angle de 90° ;
• En cas de modification à la ligne verticale de l’équerre en la déportant soit a droite, soit a gauche, on obtient des angles différents qui ne sont plus de 90°. Ce sont des angles obtus ou aigus, la vibration change également et il est possible, de 0° a 180° de détecter toute des vibrations du spectre visible et invisible ;
• Chaque angle apporte son énergie vibratoire exactement comme les éléments d’un accumulateur qui, ajoutés les uns aux autres, font monter le voltage. Cette énergie captée peut être considérablement amplifiée en la branchant sur les forces cosmo-magnétiques.
Arthrose – solutions naturelles
Solutions naturelles
L’arthrose est une maladie très fréquente qui touche près de 10 millions de français, 60% des plus de 65 ans ! c’est loin d’être une maladie bénigne et la 2ème cause d’invalidité en France.
Les traitements médicamenteux, antalgiques et anti-inflammatoires soulagent temporairement la douleur mais n’ont aucune action sur la progression de la maladie. De plus, ils présentent des effets indésirables parfois graves qui limitent leur utilisation au long cours.
Il existe de nombreux traitements naturels capables de soulager les douleurs et de freiner l’évolution de la maladie, sans les inconvénients des médicaments classiques.
Ce n’est pas une simple usure des cartilages
L’arthrose est la maladie rhumatismale la plus fréquente. Elle se caractérise par une usure anormale du cartilage articulaire et de l’ensemble de l’articulation.
C’est une maladie inflammatoire articulaire et c’est cette inflammation chronique qui détruit progressivement le cartilage ainsi que toutes les structures de l’articulation.
L’arthrose n’est pas seulement une maladie handicapante du fait des douleurs, des raideurs et des déformations articulaires plus ou moins prononcées qu’elle entraîne. C’est aussi une maladie MORTELLE : en effet, le taux de mortalité des personnes atteintes d’arthrose est supérieur de 55% à celui des personnes non arthrosiques, notamment parce qu’elles ont plus de risques que les autres de souffrir de problèmes cardiovasculaires.
Le diagnostic de l’arthrose est avant tout clinique : douleur et raideur sont les signes principaux. Les articulations les plus fréquemment atteintes sont celles du genou, de la hanche et de la colonne vertébrale ; mais toutes les articulations peuvent être concernées. L’arthrose des doigts est très fréquente, surtout chez la femme.
La douleur, qui amène à consulter, est de type mécanique : déclenchée et aggravée par le mouvement, elle diminue ou disparaît lorsque l’articulation est au repos. Moins importante le matin, elle augmente dans la journée pour devenir maximale le soir.
A un stade plus tardif apparaissent des déformations articulaires. Une radiographie standard est suffisante pour confirmer le diagnostic : diminution de l’épaisseur du cartilage, rétrécissement de l’espace entre les deux extrémités osseuses… Il n’y a pas de lien direct entre l’importance des signes radiologiques et les symptômes ressentis.
L’Arthrose n’est pas liée au vieillissement
Les premiers signes débutent généralement à partir de 40-50 ans, mais la maladie a en réalité commencé bien plus tôt. Alors que seulement 3% de la population de moins de 45 ans sont touchés, 60% des plus de 65 ans et 80% des plus de 80 ans sont atteints par l’arthrose d’une ou plusieurs articulations.
Les mécanismes de l’arthrose
Dans l’arthrose, le cartilage est progressivement détruit du fait d’une inflammation chronique des chondrocytes. Cette inflammation crée un déséquilibre entre les mécanismes de dégradation de la matrice cartilagineuse et ceux qui tentent de la réparer. Quand les mécanismes de destruction l’emportent, l’épaisseur du cartilage diminue et l’articulation s’altèrent définitivement. Le cartilage étant en quelque sorte le pneu de l’articulation, quand il n’y en a plus, vous roulez sur les jantes, os contre os !
- L’apparition de l’arthrose est liée à une surexcitation des chondrocytes, devenus plus sensibles sous l’effet de l’inflammation ;
- L’altération de l’os, juste sous le cartilage pourrait être la cause première, due à une irrigation sanguine insuffisante par dysfonctionnement du réseau capillaire sanguin. La baisse des apports en nutriments aux cellules osseuses entraînerait secondairement les lésions cartilagineuses.
Facteurs de risques :
• Maladie d’un certain mode de vie ;
• Fréquence en cas d’obésite, de surcharge pondérale : le tissu adipeux (graisse) produit des composés pro-inflammatoires nocifs pour les articulations ;
• Manque d’activité physique : il diminue le tonus musculaire, réduit l’apport sanguin aux muscles et provoque une mauvaise oxygénation du cartilage ;
• Alimentation pauvre en fruits et légumes, riche en acide gras Trans et déséquilibrée en omégas-6, favorisant un état inflammatoire propice au développement de l’arthrose.
Antalgique et anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) déconseillés
• Paracétamol : Ce médicament, en cas de surdosage, provoque de graves lésions hépatiques (première cause de greffe du foie)
• Risque d’Anti-Inflammatoire non stéroïdien (AINS) : ulcères digestifs, hémorragies, insuffisance rénale, insuffisance cardiaque – à long terme : dégradation du cartilage
• Injection intra-articulaire de corticoïdes (cortisone) – viscosupplémentation (injection d’acide hyaluronique dans l’articulation) : soulagement pour une durée variable.
Alimentation saine • Fruits, légumes apportant minéraux, vitamines, antioxydants – contre l’acidose chronique favorisant l’arthrose • Culture biologique, évitant 62000 tonnes de pesticides par an • Acides gras polyinsaturés riche en oméga-3 : huile de colza, graines de lin, oléagineux (noix, noisettes…), poissons gras (sardines, maquereaux) • Eviter les gros poissons (concentration de métaux lourds – saumon, thon) |
Sans Gluten – Sans Lait
• Le gluten entretient un état inflammatoire chronique |
Activité physique régulière • Oxygénation des tissus • Action anti-inflammatoire • 15 à 30 minutes – 3 fois par semaine • exercices d’amplitude • exercices de renforcement • étirements Contre l’excès de poids • Alimentation saine Arrêter de fumer • Stress oxydant : augmentation massive de la production de radicaux libre |
Vitamines D • Eviter la carence en vitamine D : puissants effets anti-inflammatoires Compléments alimentaires • Anti-arthrosiques symptomatiques d’action lente (AASAL) : action sur le long terme |
Chondroîtine
• Composant des protéoglycanes : favorise la synthèse par les chondrocytes – inhibe l’élastase (enzyme dégradant le cartilage) + protège les artères Glucosamine • Autre composant des protéoglycanes : favorise l’assimilation du soufre, nécessaire à la fabrication, réparation du cartilage – améliore la qualité du liquide synovial |
Insaponifiables d’Avocat et Soja
• Substances extraites de l’avocat et du soja (fractions insaponifiables de leurs huiles) : améliore la fonction des articulations, diminue la douleur et la consommation d’anti-inflammatoires |
Plantes anti-inflammatoires
• Griffe du diable (Harpagophytum Procumbens) : principes actifs harpagoside, harpagide, procumboside, procumbide • associé à un corps gras et à du poivre (augmente son absorption intestinale) • 1,5 – 3 g par jour – 60 à 200 mg de curcuminoïdes |
• Gingembre (zingiber officinale) : composés antioxydants, riche en cuivre, en manganèse • synergie avec l’ail, l’oignon • 1-2 g gingembre en poudre – 10 g gingembre frais par jour => effet 6-8 semaines • Cassis (Ribes Nigrum) : 5-10 g feuilles dans eau bouillante – gélules poudre 1,5 g par jour • Pin Maritime (pinus pinaster) : source d’oligoproantrhocyanidines(OPC)-substances flavonoïdes dotées de puissantes propriétés antioxydantes • Piment de Cayenne (capsicum frutescens) : lotion à base de capsaïcine – 3-4 fois par jour ou onguent 0,025-0,075% de capsaïcine sur les parties atteintes => effet 1-2 semaines |
Aliments « Vivants » riches en Vitamines et Minéraux
LES VITAMINES
Vitamine A
ou antixérophtalmique (liposoluble)
La vitamine A se rencontre (sous forme généralement de provitamine A ou Carotène) dans la plupart des plantes et légumes verts et de nombreux fruits, notamment les carottes, l’ail, l’oignon, les tomates les feuilles d’épinard, de pêcher, de mûrier, de marronnier, la banane, les navets, l’ananas, les céréales, les groseilles, les framboises, les mûres l’abricot, le citron, l’oranger, le cynorrhodon ou églantier, les fruits oléagineux (et les huiles végétales).
Elle est également abondante dans les germes de blé, le jaune d’œuf, le lait entier, la crème, le beurre, le foie des poissons (huile de foie de morue)…
Le complexe vitaminique B
- Vitamine B1, ou anti-béribérique, ou aneurine, ou thiamine (hydrosoluble)
Elle est abondante dans l’enveloppe des grains (blé, riz…) et d’autres végétaux : noix, légumineuses, arachides, la plupart des légumes et des fruits, les levures. On la retrouve dans le pain dans le riz tel que le consomment les Extrême-Orientaux.
En revanche, le pain blanc et le riz glacé en sont presqu’entièrement dépourvus.La cuticule du riz contient environ 2 mg-2,5 mg de vitamine B1 pour 100 g, les germes de blé, d’orge, de seigle en contiennent de 1 à 2 mg pour 100 g, le soja de 0,3 à 1,5 mg, la noix environ 0,5 mg, le foie 0,5 à 1,3 mg, le jaune d’œuf 0,3 mg.
Aliments riches en vitamine B1, (Dr Creff, 1980) en milligrammes pour cent grammes :
Farine de blé 0,36-0,5 — Riz : grain entier : 0,5 ; grain poli : 0,03 ; pellicule : 2,3 — Pomme de terre : 0,08-0,10 — Pois : 0,36 — Autres légumes : 0,4-0,6 — Fruits : pommes, poires, prunes, abricots, pêches, bananes : 0,01-0,15 — Levure : extrait : 2,5-10 ; levure sèche : 1-2 — Bœuf jusqu’à 0,6 — Agneau : 0,1-0,2 —Porc : jusqu’à 1 — Volaille : 0,1 — Lait : de femme, en moyenne 0,02 ; de vache, en moyenne 0,04 ; de chèvre, en moyenne 0,04 — Jaune d’œuf : 0,3-0,5. - Vitamine B2, ou riboflavine (hydrosoluble)
On la trouve dans les mêmes aliments que la vitamine B1 : levures, germes de céréales, feuilles de végétaux, certains fruits (abricots), le lait, le jaune d’œuf, le foie, le pollen…Les levures contiennent 2,5 à 3 mg pour 100 g, les germes de céréales de 0,5 à 1,5 mg, le jaune d’œuf environ 0,25 mg, le lait de 0,1 à 0,25 mg. Vitamine B2 est moins sensible à la chaleur que la vitamine B1. - Vitamine B3, ou vitamine PP, ou anti-pellagreuse, ou amide nicotinique (hydrosoluble)
On rencontre dans le germe de blé (Germalyne), les levures, l’enveloppe du blé et du riz, dans de nombreux légumes et fruits frais, le pollen…
Les levures en contiennent de 50 à 100 mg pour 100 g de produit sec, le foie de bœuf et de porc de 10 à 25 mg pour 100 g, la pomme de terre 1 mg, le soja 5 mg. - Vitamine B5, ou acide pantothénique (hydrosoluble).Très répandue dans le règne végétal et animal, sa carence n’est pas à craindre. On la retrouve dans les levures, le jaune d’œuf, de nombreux végétaux, la gelée royale…La levure en contient 20 mg pour 100 g, le jaune d’œuf 7 mg pour 100 g, le son 2,25 mg, le chou près de 1 mg.
- Vitamine B6, ou pyridoxine, ou adermine (hydrosoluble)
On la trouve dans les végétaux verts, l’enveloppe de certaines graines, le soja, la pomme de terre, les levures, le jaune d’œuf, le pollen…Les levures en contiennent 4 à 10 mg pour 100 g à l’état sec, le jaune d’œuf 18 mg 7 pour 100 g, le foie de bœuf environ 2 mg, le soja de 1 à 9 mg.Aliments riches en vitamine B6 (Dr Creff, 1980), en milligrammes pour cent grammes :
Levure : de bière 4-8 ; sèche : 4-10 — Céréales : blé riz (grain : 0,3-0,6 ; maïs, orge, avoine (grain) : 0,7-4 ; blé, maïs (germe) : 1-5 — Farine de blé : 0,4-0,7 — Légumes : choux, pomme de terre, pois, salades, haricots, épinards : 0,1-0,5 — Fruits : oranges, poires, bananes : 0,1-0,5 — Foie : mouton, veau : 1-2,5 — Muscles : mouton, bœuf, veau : 0,3-0,7 ; poule, jambon : 2,5 — Jaune d’œuf : 0,18 — Lait : de femme, en moyenne 0,01 ; de vache : 0,05-0,3 - Vitamine B8, ou vitamine H, ou biotine (hydrosoluble)
On la trouve dans de nombreux végétaux : levures, arachides, choux, champignons, pois, carottes, tomates, épinards… - Vitamine B9, ou acide folique (hydrosoluble)
Teneurs en folates de certains aliments, en µg pour 100 g (Info médic, 1984) :
— Soja (sec) : 220 — Asperges : 110 — Lentilles, fenouil : 100 — Epinards : 75 — Choux : 50 — Persil : 40 — Bettes : 30 — Haricots verts : 28 — Petits pois : 25 — Choux-fleurs : 22 — Betteraves rouges, laitues : 20 — Oignons : 10 — Carottes, tomates : 8 — Pommes de terre : 6.
— Avocats : 30 — Bananes : 10 — Citrons : 7 — Raisins : 6 — Fraises, oranges : 5 — Ananas, pêches : 4 — Abricots : 3 — Poires, pommes, prunes : 2.
— Levures : de boulanger : 500 — de bière sèche : 2 400.
— Lait de vache : 2 — Lait de femme : 1.
— Œuf entier cru : 5 — Jaune cru : 13 — Blanc cru : 1.
— Foies : de poulet : 380 — de bœuf : 290 — de porc : 220 — de veau : 50.
— Viandes : de bœuf et de dinde : 10 — de veau : 3 — de mouton et poulet : 3 — de porc : 2 - Vitamine B12, ou cyanocobalamine (hydrosoluble)
Elle est très largement répandue dans la nature. On la trouve dans les levures, certains légumes verts, certaines algues, le germe de blé, le riz complet, le malt, le poisson de mer, les œufs, le lait, le foie des animaux, le «nuoc-mam» cher aux amateurs de cuisine chinoise.
Vitamine C
Ou antiscorbutique, ou acide ascorbique (hydrosoluble)
Cette vitamine existe dans tous les végétaux frais (c’est la vitamine la plus sensible à la cuisson : elle diminue de plus de 50 % dans les légumes cuits à l’eau, le vieillissement obtient des effets analogues.
On la trouve particulièrement dans le chou, les tomates, le persil, le cerfeuil, l’estragon, l’oignon, les salades, le radis, le poivron, le citron, l’orange, le pamplemousse, les fruits acides, également, les châtaignes (dont 100 g contiennent 50 mg de vitamine C, c’est-à-dire autant de citron), le fruit de l’églantier, le pollen…
Elle est absente des légumineuses sèches (haricots, lentilles, fèves…), des amandes, noix, noisettes, des céréales. Elle apparait toutefois lors de la germination des graines et les Extrême-Orientaux utilisent cette propriété en faisant une large consommation de haricots, pois et soja germés.
Pour 100 g, l’églantier contient 400 à 1 500 mg (1,50 g) de vitamine C, le cassis 100 à 400 mg, l’orange, le pamplemousse, le cresson de 50 à 100 mg, le citron, la châtaigne environ 50 mg, l’épinard de 40 à 80 mg, le chou de 30 à 100 mg, le pomme de terre 10 mg.
Teneur de quelques végétaux en vitamine C, en mg pour cent gr. de partie comestible (Dr Creff, 1980) — Persil : 200 — Cassis frais : 180 — Navet cru : 139 — Oseille : 124 — Poivron vert cru : 120 — Estragon : 120 — Chou vert cru : 120 — Fenouil : 100 — Piment : 100 — Cresson cru : 87 — Chou de Bruxelles cru : 80 — Chou rouge cru : 70 — Citron frais : 65 — Fraise fraîche : 60 — Orange fraîche : 60 — Chou-fleur cru : 60 — Cerfeuil : 60 — Epinard cru : 50 — Mâche : 50
Vitamine C2, ou vitamine P
(hydrosoluble)
Elle englobe des corps très divers et nombreux (rutine, citrine, catéchine…), contenus dans certains végétaux, le poivron, le paprika, le sarrasin, la myrtille et notamment les agrumes : orange, citron, pamplemousse.
Vitamine D
ou antirachitique (liposoluble)
100 g d’huile de foie de morue contiennent environ 2 mg de vitamine D, 100 g d’huile de flétan de 0,5 à 10 mg, 100 g de beurre 2 millièmes à 2 centièmes de mg.
Vitamine E
ou tocophérol (liposoluble)
On trouve la vitamine E dans les céréales et surtout dans leur germe (germe de blé…), les huiles végétales, les légumes (salades, cresson, épinards, persil, pois…), le pollen.
La salade verte contient environ 4 mg de vitamine E pour 100 g, le germe de blé 20 mg pour 100 g, l’huile de germe de blé 150 à 500 mg pour 100 g.
Vitamine F
(liposoluble)
L’acide linoléique, l’acide linoléique et l’acide arachidonique entrent dans la composition de certaines huiles végétales (huiles vierges, extraites à froid ; de tournesol, de noix, de noisettes, de colza, d’oeillette, de lin…).
Vitamine K
ou anti-hémorragique (liposoluble)
Il existe une vitamine K dans les végétaux verts (elle fut isolée en 1939 par Karer dans la luzerne) et une vitamine K qui se forme à partir des farines de poisson putréfiées.
SELS MINERAUX, METAUX, OLIGO-ELEMENTS, CATALYSEURS
L’ARSENIC est un tonique et un reconstituant (stimulant de l’appétit, active les échanges nutritifs). Il facilite la respiration et s’avère bienfaisant dans certaines dermatoses.
Il existe dans le germe de blé, le riz, l’ail, le chou, les épinards, le navet, la carotte, la pomme de terre, la pomme et dans nombre d’autres végétaux.
LE BROME est un sédatif du système nerveux. Son utilité est réelle dans les cas d’insomnies.
On le trouve dans la pomme, le raisin, la fraise, le melon, l’ail, l’asperge, la carotte, le céleri, le chou, l’oignon, le poireau, le radis, la tomate.
LE CALCIUM est connu de tous pour son importance dans la constitution et l’entretien des os.
On rencontre le calcium dans de nombreux végétaux : blé, avoine, noix, noisette, amande, carotte, chou, épinard, céleri, pomme de terre, oignon, navet, et aussi dans le lait, les fromages, ces sources incomparables, ainsi que le pollen.
LE CUIVRE, 0,0004 % dans l’organisme, est un élément essentiel en biologie animale et végétale.
On le trouve dans les amandes, noix, noisettes, le blé, la betterave, l’oignon, le navet, les épinards, les poireaux, la cerise, la pomme, l’orange, le raisin, le pollen.
LE FER est surtout connu comme anti-anémique.
Il existe dans de nombreux fruits, l’amande, la noisette, le blé, l’avoine, le seigle, la carotte, l’épinard, l’oignon, le cresson, le chou, la châtaigne, le persil les légumineuses, le cacao, le pollen, certains abats…
LE FLUOR, isolé en 1886 par le pharmacien H ; Moissan, prix Nobel, a fait parler de lui pour l’entretien de l’émail dentaire. Son utilité est réelle pour les os (il joue, avec le phosphore, un rôle important dans le métabolisme du calcium) et les tendons.
L’IODE a de nombreuses indications thérapeutiques. Anti-scléreux (protecteur vasculaire, surtout des gros vaisseaux qu’il assouplit), hypotenseur, antitoxique, dépuratif, il est indispensable au bon fonctionnement de la thyroïde et devrait être «le pain quotidien» des vieillards.
Les algues en sont richement pourvues et aussi l’ail, l’oignon, le cresson, les épinards, le chou, la carotte, le poireau, le navet, la tomate, la poire, le raisin.
LE MAGNESIUM, auquel s’attache le nom du Pr Pierre Delbet pour les innombrables travaux que cet auteur a fait paraître à son sujet, est un élément plastique et catalytique à la fois. Il est un facteur cellulaire, un équilibrant psychique et du système vago-sympathique, un draineur hépatique (augmente la sécrétion biliaire), un antiseptique, par voie interne et externe.
On trouve le magnésium dans le blé, l’avoine, l’orge, le maïs, les dattes, les épinards, la pomme de terre, la betterave, le pollen et dans de nombreux végétaux et fruits. Il représente environ 2,4 % de la masse terrestre.
LE MANGANESE, malgré sa faible présence : 0,0001 % dans l’organisme, est un élément capital pour notre économie.
On le trouve dans diverses céréales, le cresson, le chou, le céleri, la carotte, l’oignon, le pissenlit, la pomme de terre, le pollen…
LE NICKEL stimule les fonctions pancréatiques et se trouve donc indiqué dans le diabète.
On le rencontre dans la carotte, le cresson, le chou, l’épinard, le haricot, l’oignon, la tomate, le raisin…
LE PHOSPHORE est un élément plastique et dynamique. Il entre dans de nombreuses combinaisons avec les graisses, les sucres, les protides.
De nombreux végétaux en contiennent : céréales, germe de blé, ail, céleri, carotte, oignon, poireau, tomate, amande, noix, raisin. Il existe également dans le pollen.
LE POTASSIUM est un des éléments prédominants du règne végétal, découvert en 1807 par Sir Humphrey Davey.
On le trouve dans de nombreux végétaux, le blé, le riz, la pomme de terre, le raisin, la poire, la banane, la datte, le chou, le haricot, le poireau, la noisette, l’amande, le pollen.
LA SILICE joue un rôle important dans les domaines osseux, vasculaire, nerveux, respiratoire.
On la trouve dans l’enveloppe des céréales, la peau des fruits, l’ail, l’échalote, la civette, le pollen…
LE SODIUM est un alcalinisant du milieu humoral.
Très répandu dans le règne animal et dans les végétaux (céréales, légumes, fruits), on le trouve sous de multiples combinaisons : chlorures, citrates, iodures, phosphates, bicarbonates.
LE SOUFRE est un élément d’importance capitale pour les os, les dents, phanères, tendons, articulations.
On le rencontre dans de nombreux végétaux : ail, cresson, oignon, radis, radis noir, pomme de terre, datte, amande, dans le pollen…
LE ZINC (selon les auteurs : 0,002 % dans l’organisme, un individu de 70 kg en comporte 1,5 à 2 g), constituant de plusieurs enzymes, joue un rôle important dans le métabolisme.
On le trouve dans le blé, l’orge, la betterave, le chou, l’épinard, la tomate, la pêche, l’orange…
L’ALUMINIUM est, pour le moment, classique en cas d’atonie, comme régulateur du sommeil et dans le retard intellectuel de l’enfant. En réalité, on n’en sait pas grand-chose.
L’ARGENT est bactéricide. On a, depuis longtemps, étudié les propriétés bactéricides de l’eau mise en contact avec ce métal.
LE BORE (0,00002 % dans l’organisme) est certainement intéressant dans l’équilibre phosphoré. Serait favorisant du sommeil.
LE LITHIUM est un équilibrant psychique, indiqué dans les insomnies, la mélancolie, l’anxiété, les obsessions, la psychasthénie, les états dépressifs.
L’OR, enfin, est un anti-infectieux et un anti-inflammatoire bien connu depuis de nombreuses années (A Lumière).
«Cuivre-or-argent» est indiqué dans tous les états infectieux aigus, les affections dégénératives, l’absence de défense organique. Sous certains de ces aspects, il se comporte comme un véritable antibiotique.
«Cuivre-nickel-cobalt» est indiqué comme médication équilibrante endocrinienne, notamment des troubles pancréatiques.
«Manganèse-cobalt» est indiqué dans les cas de dérèglement vago-sympathique, les troubles circulatoires des membres inférieurs (crampes, stases, jambes lourdes, varices, oedèmes, post-phlébitiques), certains ulcères gastriques, les troubles douloureux des règles, la ménopause ; les états neuro-arthritiques, les colites spasmodiques, les précordialgies, les coronarites, les artérites, les déficiences de la mémoire, l’anxiété, le pessimisme habituel.
«Manganèse-cuivre» : le cuivre est un anti-infectieux et un anti-inflammatoire. Le manganèse est un remède de l’arthritisme.
«Manganèse-cuivre-cobalt» sera donné dans les asthénies et les anémies.
«Zinc-cuivre» est le traitement catalytique des dérèglements hypophyso-ovariens et orchitiques.
«Zinc-nickel-cobalt» est indiqué dans les troubles de l’axe hypophyso-pancréatique, et surtout le diabète.
Vie Biogénique selon Edmond Bordeaux-Szekely
Vivre en Harmonie avec l’Univers
Extrait « Vie Biogénique » selon Edmond Bordeaux-Szekely
« Depuis l’apôtre Paul, l’Eglise n’a cessé d’enseigner aux hommes, la haine de leur propre corps. Elle a dénigré une relation harmonieuse avec soi-même pour ne valoriser que la vie intellectuelle en prônant une spiritualité purement cérébrale.
Le bien-être, la santé, l’observation de soi, la connaissance intérieure ont été supprimées pour faire place à une science analytique dont on mesure actuellement les limites et les dangers.
Obsédée par un esprit démoniaque de cupidité et de compétition, notre société dévaste et gaspille follement le capital précieux des ressources naturelles de la planète pour produire une marée sans fin de biens de consommation inutiles, non bio-dégradables et non-recyclables.
Ainsi se développe à une vitesse vertigineuse une pollution sans cesse croissante des sources de la vie sur terre – atmosphère, océans, rivières, lacs, sols, champs, forêts – détruisant à jamais des milliers et des milliers de formes de vie créées il y a des millions d’années.
Dans un très proche futur, l’industrie géante centralisée, cet insatiable monstre, nous aura complètement séparé de la nature qui recouvre notre mère la terre et nous achèvera en immolant nos corps affaiblis, anémiques et malades au sommet d’une montagne de déchets empoisonnés aussi grande que la planète. »
Pour apprendre à réorganiser la vie quotidienne d’une façon nouvelle, créative et intelligente – grâce à laquelle l’homme cesse d’être un orphelin du cosmos pour devenir un atome actif de la vie universelle – la pensée essénienne a sa place auprès des écrits inspirés bouddhiques, hindous, chinois, aztèques ou issus d’autres traditions anciennes.
Toutes, avant d’être déformées par les religions institutionnalisées, affirment que notre corps et l’univers qui nous entoure ne sont pas nos ennemis mais bien de merveilleurs enseignants nous invitant à créer une relation harmonieuse avec tout ce qui vit en nous et autour de nous…
La Loi dont parlent les Esséniens n’est pas une loi religieuse dogmatique et figée, mais l’intuition de vie qui réside en chacun et lui apprend à vivre en harmonie avec l’univers.
Ce n’est qu’en suivant son intuition profonde (et son instinct, qui en est la composante biologique) que l’être humain peut se délivrer des prisons qu’il a lui-même créées par un mode de vie et de pensée dénaturé et déraciné…
Les puissances invisibles qui nous entourent, ces forces de la nature que les Esséniens appelaient « anges », ont exprimé à toutes les époques par la bouche des prophètes et des sages un message d’une grande simplicité :
Cesse d’avoir peur, l’univers ne t’est pas hostile. Tu es environné de puissances d’amour et de félicité qui attendent seulement que tu les acceptes pour te combler de bienfaits !
Télépathie des handicapés
Notre méconnaissance et notre ignorance peuvent les faire souffrir…
Je me permets de vous faire part d’une expérience qui a marqué à vie mon point de vue sur le handicap extrême et sur nos visions tellement restrictives de la plupart d’entre nous.
Il y a plus de 15 ans, j’étais invitée une après-midi chez des châtelains pendant la période de Noël.
Je rentrais dans la pièce principale pour saluer toutes les personnes qui étaient présentes et alors que j’allais m’asseoir, une voix dans ma tête m’a dit : « tu ne m’as pas dit bonjour ! ».
Je regardais autour de moi sans rien remarquer et allais m’asseoir à nouveau et la voix dans ma tête me dit encore : « Mais tu ne m’as pas dit bonjour ! ».
J’avais salué tout le monde – Personne autour de moi ne semblait offusqué d’un éventuel oubli de ma part ou venait d’entrer ou était caché par quelqu’un d’autre.
Mais cette voix dans ma tête était tellement volontaire et tonitruante que vraiment je ne pouvais pas faire autrement que de chercher mieux du regard et faire le tour de la pièce, qui était certes grande.
La situation était quelque peu insolite, tout le monde était assis et moi je tournais autour de moi-même, captée par cette voix qui semblait ne pas vouloir me laisser tranquille tant que je ne lui aurais pas dit bonjour.
Enfin, caché par l’aménagement de la pièce, était étalé dans un lit d’époque un être en position déformée, figée comme transformé en pierre – j’avais finalement trouvé l’être dont la voix résonnait si fort dans ma tête et m’empressais de l’embrasser pour le saluer comme les autres.
Après cela, au fil des conversations, nous en sommes venus à parler d’Henri, l’enfant tétraplégique du lit – Ces parents avaient chargé une personne spécialisée de communiquer avec lui à l’aide d’un ordinateur capable de déchiffrer sa pensée grâce aux mouvements des yeux. Henri avait pu ainsi leur faire part de sa désolation de rendre la vie de ses parents si compliquée et de la tristesse qu’il ressentait dans leurs coeurs…
J’ai appris quelque temps plus tard le décès d’Henri.
Mais, dans mon for intérieur, je sais qu’Henri a laissé la trace de son existence dans mon coeur,
et je raconte depuis, autant qu’il est possible, mon expérience avec lui,
pour prouver que l’on ne doit pas juger l’existence des handicapés (utile, inutile, pas digne d’être vécue…) et surtout que l’on a aucun droit de vie ou de mort sur eux !
Il y a peu de temps encore, une maman désespérée me demandait si j’avais la possibilité d’aider son fils adulte,
qui, à la suite d’un accident, était devenu tétraplégique, aveugle et sourd.
Au moyen de sa photo, je me suis connectée à ce jeune, qui a bel et bien une vie télépathique,
puissante puisque c’est devenu son seul mode de communication,
qui ne l’empêchait pas de se sentir seul à mourir puisque personne ne l’écoutait.
Son handicap total lui avait ôté son humanité aux yeux de son entourage.
Ce que nous faisons subir à certains handicapés, par méconnaissance ou ignorance, est parfois innommable.
Nous n’avons pas idée qu’ils entendent parfois tout ce que nous disons sur eux, qu’ils sentent tout le mépris que certaines personnes ont pour eux et qui s’en occupent au quotidien.
Nos sens sont tellement réduits à leur plus simple usage,
que nous ne savons pas rentrer en relation avec les êtres qui nous entourent,
même s’ils émettent des ondes que notre cerveau est tout à fait capable de capter et comprendre.
Je n’ai aucune révolte, aucune revendication – uniquement de la compassion pour tout ce qui vit
(même pour ce qui ne semble pas vivre à nos yeux terrestres).
L’humain gagnera en bien-être, en harmonie et en épanouissement à s’ouvrir à des horizons qui dépassent sa raison et son intellect.
Champs d’énergie
Nous obéissons à des lois universelles.
Il est bon de savoir que les scientifiques n’ignorent pas l’existence des champs d’énergie.
Les scientifiques savent que l’organisme ne se limite pas à une structure physique de molécules mais qu’il comporte aussi des champs d’énergie. Nous passons continuellement du monde statique des solides à celui des champs d’énergie aux formes mouvantes et changeantes.
Si cette information existe, autant l’expérimenter. Les savants apprirent à mesurer ces transformations subtiles. Des appareils ont été fabriqués afin de détecter ces champs d’énergie émis par nos corps et d’en mesurer les fréquences : celle de la décharge électrique du coeur à l’aide de l’électrocardiogramme (ECG), celle du cerveau par l’électroencéphalogramme (EEG). Un détecteur de mensonge mesura l’électricité potentielle de la peau. On sait mesurer les champs magnétiques à l’aide du SQUID, un appareil ultrasensible, super conducteur d’interférence du quantum, sans contact avec le corps. Le Dr Samuel Williamson, de l’université de New York, affirme que le SQUID apporte plus d’informations sur le fonctionnement du cerveau qu’un simple EEG.
La médecine se fia de plus en plus à cet appareillage sophistiqué mesurant les pulsations de la santé et de la maladie du corps. E la vie finit par se définir en termes de pulsions et de schémas d’énergie.
- En 1939, le Dr H. Burr et le Dr F. Northrop, de l’université de Yale, découvrirent qu’en mesurant le champ d’énergie d’une graine (dit L ou life field), on pouvait prévoir la vitesse de croissance et la vitalité de la future plante. En mesurant celui d’un oeuf de grenouille, ils sont parvenus à localiser l’emplacement du système nerveux et, par le même procédé, à délimiter la période d’ovulation chez la femme. Et une nouvelle méthode de contrôle des naissances est née.
- Le Dr Léonard Ravitz, de l’université de William and Mary, démontra en 1959, que les fluctuations du champ d’énergie étaient liées à l’état mental, à la stabilité psychologique et à leurs variations, postulant ainsi l’existence d’un champ associé au processus de la pensée, dont les perturbations se manifestent par des symptômes psychosomatiques.
- Dans l’état de New York, en 1979, un autre chercheur, le Dr Robert Becker, de l’Upstate Medical School de Syracuse, dressa la carte d’un champ électrique extrêmement complexe évoluant autour du corps humain : ces réseaux vibratoires épousent non seulement la forme exacte du corps, mais ils reproduisent également tous les détails du système nerveux central. Il donna à ce champ le nom de « Système de contrôle du courant direct » et découvrit que les fluctuations de sa forme et de son intensité étaient associées à l’état psychologique et physiologique du sujet testé. Puis il prouva que les particules circulant dans ce champ étaient de la taille des électrons.
- En Russie, le Dr Victor Inyushin, de l’université de Kazakh, se livrait déjà, depuis les années 1950, à des études intensives sur le champ d’énergie humaine. Ses expériences l’amenèrent à supposer l’existence d’un champ d’énergie bioplasmatique composé d’ions, de protons et d’électrons libres et se distinguant des quatre états connus de la nature, à savoir : solide, liquide, gazeux et plasmatique. Selon Inyushin, ce champ d’énergie bioplasmatique pourrait constituer un cinquième était de la matière. Ses observations lui montrèrent que les particules bioplasmatiques sont contamment renouvelées par un processus chimique dans la cellule, et qu’elles sont continuellement mouvantes ; qu’il semble exister un équilibre relativement stable entre les particules négatives et les positives. Si cet équilibre est rompu, l’organisme s’en trouve affecté. Inyushin découvrit qu’en dépit d’une stabilité normale du bioplasma, une quantité considérable d’énergie s’irradie dans l’espace et que les nuages de particules bioplasmatiques émanant de l’organisme, en mouvement dans l’air, étaient mesurables.