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Dans La Joie par Glorious

Paroles de la chanson Dans La Joie par Glorious

Je suis dans la joie une joie immense
Je suis dans l’allégresse car mon Dieu m’a libéré
Je suis dans la joie une joie immense
Je suis dans l’allégresse car mon Dieu m’a libéré

Je chanterai de tout cœur les merveilles de Jésus mon Seigneur
Il m’a ôté des ténèbres il m’a délivré de tous péchés
Je chanterai de tout cœur les merveilles de Jésus mon Seigneur
Il m’a ôté des ténèbres il m’a délivré de tous péchés

Je suis dans la joie une joie immense
Je suis dans l’allégresse car mon Dieu m’a libéré
Je suis dans la joie une joie immense
Je suis dans l’allégresse car mon Dieu m’a libéré

Car mon Dieu est fidèle il ne m’abandonne jamais
Je n’ai plus rien à craindre car mon Dieu m’a libéré
Car mon Dieu est fidèle il ne m’abandonne jamais
Je n’ai plus rien à craindre car mon Dieu m’a libéré

Je suis dans la joie une joie immense
Je suis dans l’allégresse car mon Dieu m’a libéré
Je suis dans la joie une joie immense

Je suis dans l’allégresse car mon Dieu m’a libéré

Je suis dans la joie une joie immense
Je suis dans l’allégresse car mon Dieu m’a libéré

Je suis dans la joie

Je suis dans la joie une joie immense
Je suis dans l’allégresse car mon Dieu m’a libéré

Intelligence des Cétacés

L’intelligence des cétacés désigne les capacités cognitives prêtées aux membres de l’ordre des cétacés, qui comprend les baleines, les marsouins, les cachalots et les dauphins.

Cette intelligence est suggérée par la taille de leurs cerveaux, par leurs comportements individuels ou sociaux et par l’aisance de leurs capacités d’apprentissage.

La grande taille du cerveau a longtemps été considérée comme un indicateur de l’intelligence d’un animal.

La comparaison de la taille du cerveau d’un animal particulier avec les attendus de la taille du cerveau basés sur l’analyse allométrique fournit un coefficient d’encéphalisation (CE) qui peut être utilisé comme indication de l’intelligence de l’animal.

  • l’orque a un CE de 2,57,
  • le dauphin de la Plata de 1,67,
  • le dauphin du Gange de 1,55,
  • le grand dauphin de 4,14,
  • le sotalia de 4,563
  • l’être humain a un CE de 7,44
  • le chimpanzé est à 2,49
  • les chiens à 1,17
  • les chats à 1,00
  • la souris à 0,504

Une autre manière d’évaluer l’intelligence est de comparer la taille du cerveau d’une espèce à la naissance et celle de celui des adultes complètement développés. Cela indique à quel point une espèce accumule d’apprentissage encore jeune. La majorité des mammifères naissent avec un cerveau avoisinant 90 % du poids adulte alors que pour les êtres humains il est à peine de 28 % du poids des adultes, et de 54 % chez les chimpanzés, de 42,5 % chez les dauphins et 35 % chez les éléphants.

On a découvert des neurones sans grande ramification, connus aussi comme «neurones von Economo», dans le cerveau de la baleine à bosse, du rorqual commun, du cachalot, de l’orque, du dauphin, du dauphin de Risso et du béluga.

Les humains, les grands singes et les éléphants sont les seules autres espèces connues pour avoir ces cellules fusiformes, toutes espèces bien connues pour leur grande intelligence. Les neurones en fuseau semblent importants pour le développement du comportement intelligent, pouvant inclure la conscience de soi et l’empathie. Une telle découverte peut suggérer une évolution convergente de ces espèces. Des estimations quantitatives suggèrent également que ce type neuronal peut être trois fois plus important chez les cétacés que chez les humains, en prenant en compte la différence de taille.

Structure du cerveau

Le cerveau des éléphants montre une complexité similaire à celui des dauphins, avec encore plus de circonvolutions que celui des humains, et avec un cortex plus épais que celui des cétacés.

Il est généralement admis que la croissance du néocortex, tant en valeur absolue que par rapport au reste du cerveau, au cours de l’évolution de l’homme, a été responsable de l’évolution de l’intelligence, quelle qu’en soit la définition.

Certains scientifiques soutiennent que plus le nombre de neurones corticaux est élevé dans une espèce, plus grande est leur intelligence. Bien que de nombreux cétacés aient un grand nombre de neurones corticaux, après l’homo sapiens, l’espèce avec le plus grand nombre de neurones corticaux et synapses est l’éléphant.

Tous les mammifères dormant, dont les dauphins, ont un stade connu sous le nom de sommeil paradoxal. Contrairement aux autres mammifères terrestres, le cerveau des dauphins contient un lobe paralimbique (proche du système limbique), qui peut éventuellement être utilisé pour le traitement sensoriel. Le dauphin a une respiration volontaire, même pendant le sommeil (les dauphins ne dorment que d’un hémisphère de leur cerveau), de sorte que l’anesthésie vétérinaire est impossible.

Principe de l’écholocation

Le temps de transmission du tronc cérébral du dauphin est plus rapide que celui qu’on retrouve habituellement chez les humains, et est approximativement équivalent à la vitesse trouvée dans le rat. Comme l’écholocation des dauphins est le principal moyen de détection de leur environnement – analogue aux yeux chez les primates – et comme le son voyage quatre fois et demie plus vite dans l’eau que dans l’air, les scientifiques spéculent sur le fait que la rapidité du temps de transmission du tronc cérébral, et peut-être le lobe paralimbique, facilitent le traitement rapide du son.

Jeu complexe

Les dauphins sont connus pour se livrer à un comportement de jeu complexe, telles que la production stable sous l’eau de vortex d’air en forme d’anneaux ou de bagues à partir de bulles. Il existe deux méthodes principales de production de ces anneaux de bulles : la rapide projection d’air dans l’eau qui lui permet de remonter à la surface, formant un anneau ; ou la natation de façon répétée dans un cercle, puis stoppée pour injecter de l’air ds courants hélicoïdales dans le vortex ainsi formé. Les dauphins alors examinent souvent leurs créations visuellement et avec leurs sonar.

Coopération inter-espèces

Il y a eu des cas de plusieurs espèces de dauphins et de marsouins en captivité qui aidaient et interagissaient avec d’autres espèces, y compris des baleines échouées.

Communication

Les cétacés peuvent émettre et entendre des sons (qui sont censés être leurs principaux moyens de communication) dans une gamme de fréquences beaucoup plus large que celle de l’homme. Par exemple, les clics peuvent contenir de l’énergie significative dans les fréquences supérieures à 110 kHz.

En plus du canal de communication acoustique, la perception visuelle est également significative. La pigmentation contrastée du corps peut être utilisée, par exemple avec des « flashs » de la zone ventrale hypo-pigmentée de certaines espèces, comme la production de bulles d’eau pendant la signature sifflée. En outre, la plupart des comportements synchrones de coopération, ainsi que les méthodes de coopération de recherche de nourriture, sont sans doute gérées au moins partiellement par des moyens visuels.

Conscience de soi

La conscience de soi est considérée, par certains, comme un signe de pensée abstraite très développée. La recherche scientifique de ce sujet a suggéré que les dauphins, aux côtés des éléphants et des grands singes possèdent la conscience de soi.

Méfaits du Cannabis, Haschich…

Des patients se présentent régulièrement,
avec des symptômes d’angoisses au fond des tripes,
un encrassement des poumons,
des dérégulations au niveau digestif,
des reins fatigués,
une fatigue oculaire intense et continue…

Au ressenti des mains, c’est flagrant…
ressentis qui vont jusqu’au centre du cerveau où certaines zones sont « anormalement » bloquées ou surchargées – ce qui produit une lenteur anormale de réinitialisation des émotions, et probablement d’autres fonctions plus physiologiques.

Lorsqu’un historique de consommation est demandé au patient,
même une consommation assidue datant de plus de 5 ans continue à produire ses inconvénients.

A cet effet, voici le lien de DROGUES & dépendance

EFFETS & DANGERS DU CANNABIS

Les effets immédiats

Les consommateurs recherchent un état de détente, de bien-être et une modification des perceptions (par exemple, sensation de mieux entendre la musique). Mais les effets recherchés ne sont pas toujours obtenus.
Les effets de la consommation de cannabis sont variables : légère euphorie accompagnée d’un sentiment d’apaisement, légère somnolence. Mais elle peut entraîner aussi parfois un malaise, une intoxication aigüe (« bad trip ») qui peut se traduire par des tremblements, des vomissements, une impression de confusion, d’étouffement, une angoisse très forte.

Le cannabis diminue les capacités de mémoire immédiate et de concentration chez les consommateurs, tant qu’ils sont sous l’effet du cannabis. La perception visuelle, la vigilance et les réflexes sont également modifiés. Ces effets peuvent être dangereux si l’on conduit une voiture ou si l’on utilise des machines (machines-outils par exemple).
Selon la personne, la quantité consommée et la composition du produit, le cannabis peut avoir des effets physiques comme :

  • un gonflement des vaisseaux sanguins (yeux rouges) ;
  • une augmentation de l’appétit (fringales) ;
  • une augmentation du rythme du pouls (palpitations) ;
  • une diminution de la sécrétion salivaire (bouche sèche) ;
  • parfois une sensation de nausée.

A 17 ans, un adolescent sur cinq consomme du cannabis plus de 10 fois dans l’année, et 15% d’entre eux plusieurs fois par semaine.

LES RISQUES RESPIRATOIRES

La fumée du cannabis contient des substances cancérigènes comme celle du tabac : elle est donc toxique pour le système respiratoire. L’association du tabac et du cannabis entraîne des cancers du poumon plus précoces que le tabac seul. Les risques respiratoires sont amplifiés dans certaines conditions d’inhalation (pipes à eau, « douilles »).

Les effets d’une consommation régulière

Certains effets sont loin d’être anodins et révèlent un usage problématique, donc nocif :

  • difficultés de concentration, difficultés scolaires ;
  • préoccupations centrées sur l’obtention et la consommation du produit, isolement social et perte de motivation ;
  • risques pour l’usager et son entourage, liés aux contacts avec des circuits illicites pour se procurer le produit ;
  • chez certaines personnes vulnérables, le cannabis peut engendrer ou aggraver un certain nombre de troubles psychiques comme l’anxiété, la panique et favoriser la dépression. Il peut aussi provoquer l’apparition d’une psychose cannabique : il s’agit d’une bouffée délirante qui nécessite une hospitalisation dans un service spécialisé. Le cannabis est également susceptible, chez les sujets prédisposés, de révéler ou d’aggraver les manifestations d’une maladie mentale grave, comme la schizophrénie.

Télépathie des handicapés

Notre méconnaissance et notre ignorance peuvent les faire souffrir…

Je me permets de vous faire part d’une expérience qui a marqué à vie mon point de vue sur le handicap extrême et sur nos visions tellement restrictives de la plupart d’entre nous.

Il y a plus de 15 ans, j’étais invitée une après-midi chez des châtelains pendant la période de Noël.

Je rentrais dans la pièce principale pour saluer toutes les personnes qui étaient présentes et alors que j’allais m’asseoir, une voix dans ma tête m’a dit : « tu ne m’as pas dit bonjour ! ».

Je regardais autour de moi sans rien remarquer et allais m’asseoir à nouveau et la voix dans ma tête me dit encore : « Mais tu ne m’as pas dit bonjour ! ».

J’avais salué tout le monde – Personne autour de moi ne semblait offusqué d’un éventuel oubli de ma part ou venait d’entrer ou était caché par quelqu’un d’autre.

Mais cette voix dans ma tête était tellement volontaire et tonitruante que vraiment je ne pouvais pas faire autrement que de chercher mieux du regard et faire le tour de la pièce, qui était certes grande.

La situation était quelque peu insolite, tout le monde était assis et moi je tournais autour de moi-même, captée par cette voix qui semblait ne pas vouloir me laisser tranquille tant que je ne lui aurais pas dit bonjour.

Enfin, caché par l’aménagement de la pièce, était étalé dans un lit d’époque un être en position déformée, figée comme transformé en pierre – j’avais finalement trouvé l’être dont la voix résonnait si fort dans ma tête et m’empressais de l’embrasser pour le saluer comme les autres.

Après cela, au fil des conversations, nous en sommes venus à parler d’Henri, l’enfant tétraplégique du lit – Ces parents avaient chargé une personne spécialisée de communiquer avec lui à l’aide d’un ordinateur capable de déchiffrer sa pensée grâce aux mouvements des yeux. Henri avait pu ainsi leur faire part de sa désolation de rendre la vie de ses parents si compliquée et de la tristesse qu’il ressentait dans leurs coeurs

J’ai appris quelque temps plus tard le décès d’Henri.

Mais, dans mon for intérieur, je sais qu’Henri a laissé la trace de son existence dans mon coeur,
et je raconte depuis, autant qu’il est possible, mon expérience avec lui,
pour prouver que l’on ne doit pas juger l’existence des handicapés (utile, inutile, pas digne d’être vécue…) et surtout que l’on a aucun droit de vie ou de mort sur eux !


Il y a peu de temps encore, une maman désespérée me demandait si j’avais la possibilité d’aider son fils adulte,
qui, à la suite d’un accident, était devenu tétraplégique, aveugle et sourd.
Au moyen de sa photo, je me suis connectée à ce jeune, qui a bel et bien une vie télépathique,
puissante puisque c’est devenu son seul mode de communication,
qui ne l’empêchait pas de se sentir seul à mourir puisque personne ne l’écoutait.

Son handicap total lui avait ôté son humanité aux yeux de son entourage.

Ce que nous faisons subir à certains handicapés, par méconnaissance ou ignorance, est parfois innommable.
Nous n’avons pas idée qu’ils entendent parfois tout ce que nous disons sur eux, qu’ils sentent tout le mépris que certaines personnes ont pour eux et qui s’en occupent au quotidien.


Nos sens sont tellement réduits à leur plus simple usage,
que nous ne savons pas rentrer en relation avec les êtres qui nous entourent,
même s’ils émettent des ondes que notre cerveau est tout à fait capable de capter et comprendre.

Je n’ai aucune révolte, aucune revendication – uniquement de la compassion pour tout ce qui vit
(même pour ce qui ne semble pas vivre à nos yeux terrestres).

L’humain gagnera en bien-être, en harmonie et en épanouissement à s’ouvrir à des horizons qui dépassent sa raison et son intellect.

Champs d’énergie

Nous obéissons à des lois universelles.
Il est bon de savoir que les scientifiques n’ignorent pas l’existence des champs d’énergie.

Les scientifiques savent que l’organisme ne se limite pas à une structure physique de molécules mais qu’il comporte aussi des champs d’énergie. Nous passons continuellement du monde statique des solides à celui des champs d’énergie aux formes mouvantes et changeantes.

Si cette information existe, autant l’expérimenter. Les savants apprirent à mesurer ces transformations subtiles. Des appareils ont été fabriqués afin de détecter ces champs d’énergie émis par nos corps et d’en mesurer les fréquences : celle de la décharge électrique du coeur à l’aide de l’électrocardiogramme (ECG), celle du cerveau par l’électroencéphalogramme (EEG). Un détecteur de mensonge mesura l’électricité potentielle de la peau. On sait mesurer les champs magnétiques à l’aide du SQUID, un appareil ultrasensible, super conducteur d’interférence du quantum, sans contact avec le corps. Le Dr Samuel Williamson, de l’université de New York, affirme que le SQUID apporte plus d’informations sur le fonctionnement du cerveau qu’un simple EEG.

La médecine se fia de plus en plus à cet appareillage sophistiqué mesurant les pulsations de la santé et de la maladie du corps. E la vie finit par se définir en termes de pulsions et de schémas d’énergie.

  • En 1939, le Dr H. Burr et le Dr F. Northrop, de l’université de Yale, découvrirent qu’en mesurant le champ d’énergie d’une graine (dit L ou life field), on pouvait prévoir la vitesse de croissance et la vitalité de la future plante. En mesurant celui d’un oeuf de grenouille, ils sont parvenus à localiser l’emplacement du système nerveux et, par le même procédé, à délimiter la période d’ovulation chez la femme. Et une nouvelle méthode de contrôle des naissances est née.
  • Le Dr Léonard Ravitz, de l’université de William and Mary, démontra en 1959, que les fluctuations du champ d’énergie étaient liées à l’état mental, à la stabilité psychologique et à leurs variations, postulant ainsi l’existence d’un champ associé au processus de la pensée, dont les perturbations se manifestent par des symptômes psychosomatiques.
  • Dans l’état de New York, en 1979, un autre chercheur, le Dr Robert Becker, de l’Upstate Medical School de Syracuse, dressa la carte d’un champ électrique extrêmement complexe évoluant autour du corps humain : ces réseaux vibratoires épousent non seulement la forme exacte du corps, mais ils reproduisent également tous les détails du système nerveux central. Il donna à ce champ le nom de « Système de contrôle du courant direct » et découvrit que les fluctuations de sa forme et de son intensité étaient associées à l’état psychologique et physiologique du sujet testé. Puis il prouva que les particules circulant dans ce champ étaient de la taille des électrons.
  • En Russie, le Dr Victor Inyushin, de l’université de Kazakh, se livrait déjà, depuis les années 1950, à des études intensives sur le champ d’énergie humaine. Ses expériences l’amenèrent à supposer l’existence d’un champ d’énergie bioplasmatique composé d’ions, de protons et d’électrons libres et se distinguant des quatre états connus de la nature, à savoir : solide, liquide, gazeux et plasmatique. Selon Inyushin, ce champ d’énergie bioplasmatique pourrait constituer un cinquième était de la matière. Ses observations lui montrèrent que les particules bioplasmatiques sont contamment renouvelées par un processus chimique dans la cellule, et qu’elles sont continuellement mouvantes ; qu’il semble exister un équilibre relativement stable entre les particules négatives et les positives. Si cet équilibre est rompu, l’organisme s’en trouve affecté. Inyushin découvrit qu’en dépit d’une stabilité normale du bioplasma, une quantité considérable d’énergie s’irradie dans l’espace et que les nuages de particules bioplasmatiques émanant de l’organisme, en mouvement dans l’air, étaient mesurables.

Salto Angel

Pourquoi Saut de l’Ange ?

A l’image de la nature,
le grand saut vers la « renaissance » peut donner le vertige…

Salto Angel ou Salto del Ángel — littéralement « saut de l’ange » — sont les plus hautes chutes d’eau du monde, avec une hauteur de 979 m. Sur le cours du rio Kerep, rivière appartenant au bassin versant de l’Orénoque, cette chute se situe dans l’État de Bolívar, au Venezuela.

Le Salto Ángel est un accident du lit du rio Kerep, petit cours d’eau né sur le plateau de l’Auyan Tepuy (« montagne du Diable » en langue arekuna). L’Auyan Tepuy, un des plus hauts et des plus célèbres tepuys (reliefs au sommet plat bordés par d’immenses falaises), est situé dans le secteur occidental du parc national Canaima, qui a été déclaré patrimoine mondial par l’UNESCO en 1994.

C’est du haut de ce relief que s’élance le rio Kerep, réalisant un premier et unique saut de 807 m (maximum mondial de chute en une seule étape).

Au bas de la chute, le cours d’eau rejoint le rio Churun puis le rio Carrao, petit sous-affluent de l’Orénoque par le Caroní.